"Cette journée n'est pas comme les autres", pensais-je en frottant énergiquement la vitrine avec un chiffon microfibre imbibé de produit vitre. Aujourd'hui, Mister Ascott ne viendrai pas travailler. C'était son jour de congé, je détestais ce jour là. Mes sentiments ambigus pour cet homme, bien qu'il fut mon patron, me poussaient souhaité qu'il ne pensât qu'à moi. Je désirai être la seule personne qui compterai pour lui. C'était bien étrange. J'avais beau le voir comme un père, Ascott était aussi le seul homme dans ma vie, plus encore; la seule personne hormis ma mère. J'aimais peu être cet homme, ou alors désirai-je seulement avoir l'attention de quelqu'un. L'idée qu'il allait peu être pleuvoir me vint lorsque je regarda le ciel. Cela me fit sourire, peu être que, si il était dans le quartier quand il pleuvrait, il s'arrêterai à la boutique! Je savais bien que cela n'arriverai pas, il fallait s'y faire. J'étais moi même devenue une des poupées de Mr Ascott, rendue accro à l'attention qu'il pouvait me donner. J'avais passé plusieurs heures, déjà la veille, à observer sa dernière création, qui attendait d'être placée sous verre, dans l'arrière boutique. Une adorable poupée à la chevelure rousse et aux grands yeux faits d'un dégradé de oranges. Elle était mignonne, portait une robe à froufrous de style victorien marron glacé, aux dentelles blanches. Elle était belle. Comme toutes les poupées de monsieur Ascott. Belle. Comme j'aurai toujours voulu l'être. Il m'avait dit qu'elle s'appelait Luka, je me répétais ce nom depuis déjà une heure. J'avais songé, vers treize heures, à quel point le temps était long. C'est là que mon téléphone portable se mit à sonner. Le nom de mon patron s'afficha. Je décrocha, portant le téléphone à l'oreille. Ce fut une conversation professionnelle. Mr Ascott me demandait d'aller pour lui chercher un colis de la plus haute importance au relais où il l'avait fait déposer. Si ce colis était si important, pourquoi ne pas le faire livrer à la boutique? Je ne comprenais pas. Agrippant mon sac à dos en forme d'ours en peluche, je me dirigea vers le relais colis après avoir bien fermé la porte du magasin. Dans la rue, les gens me fixaient comme si j'avais été une extraterrestre. Peu être mon style vestimentaire, ma robe de style victorien couleur encre de Chine, ou le ruban dans mes cheveux, ou encore cet ours en peluche. Mais peu importait. J'arriva devant le magasin et découvrit alors qu'il n'ouvrait qu'à 14H, je m’apprêtais à retourner à la boutique de jouets, mais la plus se mit à tomber, les éclairs à apparaître et le tonnerre à retentir. Je choisis donc de me réfugier dans un magasin au hasard. Mais pourquoi celui-là? J'avais atterrit sans le vouloir dans l'animalerie. Le souvenir de mon père me revint en mémoire. Horreur. Mais autre chose attira alors mon attention. Une jeune fille dans une cage: Luluko, hybride tanuki. Ces cheveux, ces yeux, et ce prénom! Pourquoi me faisait-elle penser à Luka? -Toi... Lui fis-je, froidement. On dirait que tu me plais. Je ne sais pas pour combien de temps, mais tu me plais. Ca te dit de venir avec moi? Venir avec moi? En enfer, certainement. Elle me plaisait sur l'instant, mais dans une seconde je pourrai souhaiter la tuer. Je ne savais pas encore.
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Aria T. Murasaki
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Lun 21 Juil - 19:59
#Me
#Misa Klein
#Kanashimi Mugen
Le bon, la brute et la truande Kanashimi & Misa & Anzu
"Il fait chaaaauuud..." Me répétais-je chaque jours, mais je ne me plaignais ni de mon travail, ni de la chaleur -que mes vêtements ne faisaient qu'accentuer-, ni de quoi que ce fut. Cette vie me plaisait bien, et tant pis si je n'avais pas de ventilateur rotatif devant lequel m'installer avec un esquimaux, pour parler avec une voix de robot. La veille au soir, avant la fin de mes horaires, Mr Ascott était venu me voir, les yeux pleins d'étoiles. Parfois, il m'arrivait de penser que cet homme était encore un enfant. Je n'en revins pas, lorsqu'il m'annonça qu'il souhaitait aller au nouveau parc aquatique demain, et que nous n'ouvririons pas la boutique. Quel genre d'homme, à son âge, se met dans tous ses états pour un parc aquatique? Je ne nageais pas très bien, alors cela ne m’intéressait pas vraiment, mais il faisait chaud! Et puis l'entrée était gratuite, autant y aller... Surtout si c'est avec Mr Ascott! J'avais cherché en vain toute la soirée un maillot de bain dans mes tiroirs à sous-vêtements. Pas moyen d'en trouver un. Une fille qui n'approche jamais une piscine ne va pas collectionner les maillots de bain. Je n'en avais qu'un, que je finis par retrouver après des heures de recherche: un deux pièces noir ornés de froufrous blancs. Il s'agissait d'un cadeau, je ne l'avais jamais porté. J'espérais qu'il soit à ma taille. Le lendemain, j'attendis Mr Ascott devant la boutique, mon sac sur le dos, puis nous prîmes la direction du parc aquatique. Une fois arrivés, en fin de matinée, nous étions allés aux vestiaires pour nous changer, puis nous nous étions rejoins devant le petit bassin. Rien ne me tentait vraiment, mais mon patron était tout excité, pressé, certainement, d'aller faire tremper ses boucles blondes. Mais quel âge avait-il?! Si excité qu'il était, le patron finit par ne plus faire très attention à ma présence, il s’éclipsa sans que je m'en rende compte. Je me retrouva quelques minutes plus tard obligé de chercher l'enfant de 8 ans qui me servait de patron. -Mr. Ascott! Criais-je, mais je ne le trouvais pas. Je me remis à sa recherche, l'air perdue.
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Aria T. Murasaki
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Dim 10 Aoû - 14:35
Modifié pour Chiko
Une nuit sans lune Kazuto & Allen
"En me réveillant seul, d'un sommeil infini Au milieu d'un lieu sans ombre et sans lumière Je n'y voyais plus rien, je n'y entendais rien tremblant d'angoisse, asphyxié par les ténèbres." Aya_me - Re-naissance
C'était un triste soir ou le ciel était plus sombre et plus noir que les ailes d'un corbeau par une nuit sans lune, et l'air plus froid que le baiser mortel de la Reine des Glaces. Une nuit qui rappelait au jeune héros son combat sans pitié contre Santa Klaus Le Renaissant. Allongé dans la neige blanche et froide, le garçon se releva difficilement, en tenant sa tête qui le faisait souffrir atrocement. Où était-il? Que faisait-il là? Comment y était-il arrivé? Mystère. Calmement, il tenta de scruter la pénombre, à la recherche d'âme qui vive, de quelqu'un pour le renseigner. En seule réponse, la résonance du cri d'un corbeau. Ces vêtements qu'il portait, les épées qu'il portait sur son dos... Le jeune homme ne comprenait pas comment cela était possible. La seule pensée qui lui vint alors fut de les chercher. -Asuna! Yui! Pas de réponse, ni sa bien aimée ni la petite fille ne montrèrent signe de leur présence. Mais comment était-il arrivé là? Il n'en avait aucune idée. Un mauvais rêve? Il avait fait beaucoup de cauchemars depuis la fin de Sword Art Online, mais cela lui semblait tellement réel! L'était-ce? Le jeune homme tenta de faire apparaître le menu déroulant, mais, avant d'arriver au bout du geste, il trouva cette idée stupide et laissa son bras retomber le long de son corps. Il se saisit de son épée noir. C'est bien Elucidator. Il n'y avait pas de doute. Pourquoi? Et surtout comment? C'était impossible! Son esprit logique n'avait de cesse de lui répéter qu'il devait rêver. Le jeune homme chercha, il devait bien y avoir quelqu'un! Sans réfléchir, il se mit à marcher et, avant de s'en rendre compte, il était dans une ville. Cet endroit ressemblait un peu à la Ville de Départ, c'était assez surprenant! Le jeune gameur se sentait de plus en plus déboussolé, si c'était une blague elle devait cesser! C'est alors que, à sa grande surprise, il vit cette silhouette furtive: une jeune fille aux longs cheveux clairs, dans la pénombre, il ne pouvait rien apercevoir de plus, mais il était sur que c'était elle! Il devait la rejoindre. -Asuna!!
C'était un triste soir ou le ciel était plus sombre et plus noir que les ailes d'un corbeau par une nuit sans lune, et l'air plus froid que le baiser mortel de la Reine des Glaces. Une nuit qui rappelait au jeune héros son combat sans pitié contre Santa Klaus Le Renaissant. Allongé dans la neige blanche et froide, le garçon se releva difficilement, en tenant sa tête qui le faisait souffrir atrocement. Où était-il? Que faisait-il là? Comment y était-il arrivé? Mystère. Calmement, il tenta de scruter la pénombre, à la recherche d'âme qui vive, de quelqu'un pour le renseigner. En seule réponse, la résonance du cri d'un corbeau. Ces vêtements qu'il portait, les épées qu'il portait sur son dos... Le jeune homme ne comprenait pas comment cela était possible. La seule pensée qui lui vint alors fut de les chercher. -Asuna! Yui! Pas de réponse, ni sa bien aimée ni la petite fille ne montrèrent signe de leur présence. Mais comment était-il arrivé là? Il n'en avait aucune idée. Un mauvais rêve? Il avait fait beaucoup de cauchemars depuis la fin de Sword Art Online, mais cela lui semblait tellement réel! L'était-ce? Le jeune homme tenta de faire apparaître le menu déroulant, mais, avant d'arriver au bout du geste, il trouva cette idée stupide et laissa son bras retomber le long de son corps. Il se saisit de son épée noir. C'est bien Elucidator. Il n'y avait pas de doute. Pourquoi? Et surtout comment? C'était impossible! Son esprit logique n'avait de cesse de lui répéter qu'il devait rêver. Le jeune homme chercha, il devait bien y avoir quelqu'un! Sans réfléchir, il se mit à marcher et, avant de s'en rendre compte, il était dans une ville. Cet endroit ressemblait un peu à la Ville de Départ, c'était assez surprenant! Le jeune gameur se sentait de plus en plus déboussolé, si c'était une blague elle devait cesser! C'est alors que, à sa grande surprise, il vit cette silhouette furtive: une jeune fille aux longs cheveux clairs, dans la pénombre, il ne pouvait rien apercevoir de plus, mais il était sur que c'était elle! Il devait la rejoindre. -Asuna!!
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Aria T. Murasaki
M./Mme. Tous-le-monde ~
Dim 6 Sep - 19:49
« Une journée ordinaire? Laisse moi rire!»
feat Aria T. Murasaki & Kyoko & ...
La journée commençait tout doucement pour la population de Nekai, sur ma moto, j'arrivais au QG pour prendre mes directives de la journée: j'avais attrapé ma dernière cible la veille au soir et il m'en fallait maintenant de nouvelles! Je passais à peine la porte du QG, dans le tintamarre qui m'est habituel, qu'une grosse voix se fit entendre: -Murasaki! Ok, c'est le boss! Je me presse et gravis les escaliers pour arriver au bureau du chef. Un bonhomme viril et toujours très occupé. Il doit bien faire deux fois ma taille! C'est le genre de type auquel on évite de causer des problèmes! Je le salue familièrement, à force on s'habitue à ce gabarie et ce n'est jamais qu'un gros nounours! -Aujourd'hui, je voudrais que ce soit toi qui te charge de la livraison. -Je suis plus un bleu, boss. Je connais le terrain. -Ne discute pas, je veux que tu t'en charges.
Ok, ok. Pas convaincue, j'avais quand même rejoins mon collègue à la camionnette pour charger les hybrides dans le fourgon-cage. Comment ça fonctionne? Les hybrides ont les mains et les jambes liées, on ne leur retire les liens qu'une fois en réserve de l'animalerie et on bande les yeux à ceux dont on sait qu'ils vont se rebeller. Le camion est chargé en une vingtaine de minutes car nous savons tous les deux très bien comment faire. Il ne faut pas moins de temps pour arriver jusqu'à l'animalerie. Assise sur le siège passager, je m'ennuie un peu alors je me fais les ongles, l'air de rien.
La porte de l'animalerie émet un bruit de claquement. Je l'ai fait taper contre la barrière qui se trouve derrière. Du moment que c'est pas cassé, on s'en moque! J'avertis immédiatement le patron de mon arrivée, il m'ouvre la porte de la réserve. Mon collègue reste devant le camion pour qu'aucune sortie involontaire ne se fasse! Je devais me charger de mener chaque hybride à la réserve où il sera préparé avant d'être mit en rayon. La suite ne me concerne pas. J'allais et venais pendant à nouveau une vingtaine de minutes. Et je pensais rentrer au QG lorsque je vis le camion partir sous mon nez. Le patron du magasin, derrière moi, m’interpellait. -Mademoiselle? Je me retournais, furieuse. -Je vous vois venir! -Votre patron m'a demandé de vous trouver un hybride. Il m'a dit, je cite que "cela simplifiera votre vie quotidienne et vous permettra donc un meilleur rendement!" Je soupirais. -J'aurai sa peau un jour... Bon, montrez moi ce que vous avez! Mais un qui soit calme, si déjà je dois m'encombrer d'une bestiole! L'homme m'entraînait dans les rayons et je le suivais sans trop faire attention.
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